mardi 20 septembre 2016

Septembre, la rentrée avec la fin de l'été.

Les élections présidentielles se profilent.

Les climato-sceptiques vont ils s'activer ? "où est le côté obscur de la force!?"
Quelles responsabilités à engager sur le risque changement climatique s'il est avéré (politiques, financiers, gestionnaires des ressources)?
Quelles pertes liées à la production, l'investissement ?

La gestion des Transitions Energétiques sur les bases du modèle économique ancrées dans l'esprit des acteurs traditionnels risque d'aggraver notre situation et de bloquer notre évolution.
J'émet le vœu pour que ces élections mettent en débat l'évolution de la société en posant les bonnes questions:
Une nécessaire décroissance ciblée ?
Réflexion à aborder sereinement à l'échelle de l'Europe pour la planète (habitat, déplacement, conditions de vie).
Quel modèle social ?
Une partie des sociétés finance une part croissante de la population par la solidarité.
La rentabilité économique prévaut sur la mise en place d'une gouvernance environnementale.
Le comportement collectif, la technique sont adaptables ou non adaptables l'un à l'autre!
La place du politique prépondérante sur le citoyen.
Quelle information, communication, manipulations de la pensée ?
Etudes, enquêtes et rapports en tout genre; multiplicité des indicateurs avec des relevés probablement partisans ou orientés; profusion d'instituts, de labels engendrent des coûts et des actions non contrôlés.

Une occasion suite aux espoirs de changements contenu dans les stratégies gouvernementales et internationales de ces dernières années.

Ratification COP21, mise en place des décrets d'application de la loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte, une Programmation Pluriannuelle de l'Energie mise en consultation jusqu'au 15 octobre 2016. Modification de nos collectivités territoriales. Suivez le programme! mais où est l'engouement des citoyens de notre maison commune qui serait le déclic pour amener une révolution humaniste et économique ? Sans cela peu d'espoirs, n'attendons pas les conséquences des crises humanitaires en tout genres que nous connaissons au travers de l'histoire et que nous voyons se développer un peu partout.

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