mercredi 10 octobre 2018

Défaut de gouvernance, vogue la galère!

Après quelques années de gesticulations plus ou moins sincères, d'investissements hasardeux et peu cohérents, la divagation politique a consommé quelques ministres à un rythme sans stratégie globale pour un résultat peu reluisant.

La situation planétaire, qu'elle soit politique ou économique ne semble pas permettre une vision constructive au bien vivre de l'espèce humaine.

Il faudra sans doute se résoudre à subir les conséquences de nos comportements.

A la réflexion il était présomptueux de croire que le comportement d'un pays, la France et même l'Europe puisse contrebalancer la soif de consommation d'énergie de continents où la misère est présente depuis des siècles, misère aggravée par la frénésie de notre attitude consumériste qui s'est emballée en l'espace de seulement deux siècles.

Le constat d'intellectuels "spécialistes" du climat ou les visions économiques "d'experts" de la finance et du marché ne pourront que constater le naufrage du au manque de discernement et à l'égoïsme liés aux intérêts particuliers y compris ceux de chaque individu.

Mettre nos espoirs dans le progrès technique et l'intelligence humaine prolongerons sans doute une décadence difficile. Mais tant que l'humanisme ne sera qu'un affichage de salon pour s'acheter une conscience, nous serons dans l'erreur.

Mais peut être est ce là la limite de notre code génétique et que l'ère de l'anthropocène a ses échéances planétaire comme toute ère depuis que nous étudions la Terre.

Si la "transition collective" volontaire est une utopie, acceptons sereinement l'évolution. Chacun en accord avec sa conscience et ses actes doit accepter et participer à l'interaction positive ou négative.

Pour moi, l'indicateur de mesure d'une éventuelle amélioration sera l'évolution du comportement consumériste de la société, affichage publicitaire pour la vente des voitures particulières, recherche de mode de vie toujours plus complexes et déplacements touristiques toujours plus fantasques.

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